003 - I - 2 novembre 2013



Des milliers de kilomètres nous séparent
Tu es toujours là, même quand je m’égare
Tu es toujours prévenant et souriant
J'aime vivre avec toi chaque instant

Danser un slow collé contre elle
Sentir ses seins contre ma poitrine
Mes lèvres cachées dans son cou
Des murmures choisis vraiment doux
Ces  belles idées me turlupinent
Résistes-tu à cet appel ?


Danser un slow tout contre lui
Sentir son cœur et ses envies
De doux frissons parcourent mon corps
Tellement j'en veux plus encore
J'en rêve parfois tellement fort
Sens- tu mon parfum quand je dors ?


C’est bon de la sentir frémir
Son odeur parfume mes envies
Tournoyer au son de ses sens
En éveil me va à ravir
Elle est légère aime  bien sa vie
Renonceras-tu à mes avances?
C'est bon d'être aussi proche
L’un contre l'autre, rêves en poche
Être bercée par ses murmures
Mon cœur est pris dans sa voilure
Il est solide et sûr de lui
Vais-je céder à mes envies ?


Elle s’abandonne je le ressens
Se laisse guider par son instinct
Faire confiance  son unique destin
Pas la décevoir être présent
La chérir l’aimer la comprendre
Sera-t-elle toujours à m’attendre ?


Lui toujours présent chaque instant
Moi devant la falaise de mes peurs
Lui tranquille m'entourant de rire
Moi que la terreur empêche de vivre
Mais lui m'attend toujours en bas
Me sauvera-t-il  à chaque fois ?
J’aime  être toujours à son écoute
La rassurer  sans aucun doute
C’est gratifiant de se sentir
Important pour l’être sans mentir
Fort d’être avec toi réceptive
Je sais qu’elle sera attentive !


Aimant me serrant dans tes bras
Mon cœur vers toi s'emplit de joie
Si d'aventure parfois tu n'es pas là
Alors soudain je ressens un grand froid
Mais chaque fois quand tu reviens
Je suis bien, la chaleur m'envahit enfin


Elle est ma seule fleur de soleil
J’aime tant venir la butiner
Elle me donne des perles de rosée
Douce elle s’épand à mon réveil
Je la caresse de mots posés
C’est si bon de s’abandonner


Il est mon seul papillon
Devant lui mon cœur s'affole
Ma fleur s'ouvre en corolle
J'écoute ces mots polissons
Il me donne de grands frissons
NOUS NOUS AIMONS À L’UNISSON
( sans fin ) 

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