020 - Quickly sous la douche…
J’ai
envie d’elle pratiquement à chaque fois que je pense à elle.
Ce
camping est très bien fait, il a un bloc sanitaire éloigné des
emplacements suffisamment pour être plus tranquille la nuit. Il est
minuit passé et je reçois un « smarties » (texto) :
-
J’ai
envie de toi Amour STP je suis à la douche.
Le
temps de prendre ma serviette, torse nu, en boxer et je file au plus
vite. Une invitation de ce genre ne peut se refuser et on se doit de
ne pas faire attendre. Nous serions un sacré mal au trou euh
malotru. Le camping est calme, quelques roulottes (excusez mot
québécois pour caravane) se bercent les foufounes (fesses) un
tantinet, une à des ressorts qui grincent, une autre qui gémit ou
du moins sans doute l’occupante… Que c’est beau l’amour quand
tout est calme et serein autour, sans
doute des personnes aux sommeils agités !
J’arrivais
et faisais un coucou étranglé, tellement j’étais excité. Une
porte s’ouvrit et me happa et directement Chima se pendit à mon
cou. Elle devait être déjà tout humide de désir à voir la
vitesse où elle m’entreprenait. Je me mis à ouvrir les robinets
non pas pour éteindre le feu de ma Chima oh surtout pas je l’aime
tant quand elle est déchaînée, qu’elle veut sa jouissance
préférée, j’aime tant quand elle se donne en qwickly, me
prouvant toute sa fougue d’aimer. Un premier jet d’eau froide,
nous poussâmes un oh puis la tiédeur de l’eau nous apportait ce
petit bruit qui étoufferait de grands bruits car Chima côté
discrétion ce n’est pas trop son truc. Lorsqu’elle plonge dans
son monde ce n’est pas en apnée elle se noie complètement dans
des miaulements de lionne, elle réveillerait bien tout le camping si
je n’arrivais pas à trop étouffer ses cris stridents.
Elle
me dévorait avec sa fougue habituelle dans ses moments de désirs
fous. Elle me prit mon mât de cocagne qui était depuis longtemps au
sommet de sa forme et elle s’y empala sans autre forme de procès.
Comme je savais elle était trempée de son ambroisie car j’étais
en elle jusqu’à la garde et elle ne perdait pas une minute pour se
faire aller.
Je
lui murmurais quelques mots doux :
-
J’aime te voir ainsi Amour voir tout ton désir en toi
Pour
seule réponse tu me mordillais les lobes des oreilles ballottant ta
tête sur ma droite ou sur ma gauche. Puis un murmure pratiquement
inaudible se fit entendre :
-
Amour caresse ma noisette brune et honore là j’ai envie de te
sentir en moi.
Chima
savait que je tournais déjà depuis quelque temps autour de son joli
oursin. Sentant la pulpe de mon index sur ce petit orifice si cher
aux hommes elle voulait en ressentir un peu plus les effets.
J’allais
de mon index chercher son nectar lubrifiant, cette cyprine dont elle
regorge entre ses petites lèvres et ma hampe. Gardant mon
index enduit je caressais par douce pression son œillet de mon
majeur ce qui provoquait de petits « Oh » de fausse
surprise tout en se faisant aller de plus en plus fort sur mon mât.
Chima gémissait de plus en plus, de douces convulsions parcouraient
son être.
Ses tétons durs frappaient ma poitrine et elle se collait de plus en plus le dos bien accoté au mur de la douche. Je besognais toujours son petit anneau et mon index vint en son contact et d’une petite pression il fureta l’intérieur de son conduit anal.
Ses tétons durs frappaient ma poitrine et elle se collait de plus en plus le dos bien accoté au mur de la douche. Je besognais toujours son petit anneau et mon index vint en son contact et d’une petite pression il fureta l’intérieur de son conduit anal.
Je
ne voulais pas l’effaroucher ne sachant trop sa réaction mais un
long soupir et un sursaut me firent comprendre que Chima le voulait.
Je me mis donc à aller et venir à son rythme dans ce petit canal ce
qui précipita Chima dans son autre monde, celui qui la conduit vers
sa jouissance.
Un
rayon de lumière faisait briller sa peau ruisselante de l’eau de
la douche, des petites gouttelettes perlaient çà et là sur ces
magnifiques dunes pareilles aux cristaux de mica dans le sable fin de
la plage.
J’avais
pris le rythme et j’accélérais et mes à-coups sur mon mât et
mes allers et venu dans son conduit anal. Chima décollait petit à
petit, sa respiration augmentait, elle se tortillait, gémissait tout
montrait qu’elle n’allait pas tarder à exploser. Ses ongles se
faisaient plus pressants en mon dos tellement elle ne se rendait plus
compte de rien partie dans son monde, celui de la recherche de ses
orgasmes. Elle aimait des mots qu’elle n’entendait sans doute
même plus :
-
Que tu es belle Jouis Mon Amour jouis beauté
Et
dans des cris dont elle a le secret, je n’eus juste le temps que de
coller ma bouche à la sienne pour les étouffer un peu Chima se
contracta se bloqua et explosa de tout son être. Des convulsions la
traversaient de la tête aux pieds, ses ongles, là, étaient plantés
dans mon dos comme pour être sûr de ne rien perdre de sa
jouissance. Sa bouche cherchait instinctivement la mienne et dans un
râle accompagné d’un coup de rein d’animal en rut j’inondais
le calice de ma Chima. De sentir l’onguent chaud sur ses parois
accompagné de mon index qui était à grandeur en son anus elle eut
de douces petites contractions de son périnée qui balbutiaient sur
ma hampe Chima souriait heureuse et m’embrassa goulûment comme
elle sait si bien le faire lorsqu’elle est comblée. Chima en
pâmoison est une femme incroyable qui sait donner à son homme ce
que moi j’appelle des récompenses. Elle se releva pendue à mon
cou et se mit face à moi allant chercher dans ses coraux le fruit de
nos amours conjugués. Elle prit mes deux doigts écartant ses
cuisses elle plongea entre ses coraux nos doigts pour aller cherche
ce nectar si précieux. De longs filets de nos encres d’amour
ressortirent et nos doigts en nos bouches nous gouttâmes nos élixirs
elle replongea les siens une dernière fois et nous nous gouttâmes à
nouveau.
Puis
Chim se laissa choir vers mon appendice toujours tendu.
Elle,
le décalotta sauvagement le strangulant à sa base lui redonnant de
suite une allure fière. Je sentis alors ses lèvres dures et fermes
épousant exactement mon gland et se caler sous ma couronne et le
ballet de sa langue m’arrachait des soubresauts me transportant de
joie. Puis elle se fit aller et venir d’abord lentement et
profondément je sentais par moments le fond de son palais. Elle
accéléra me branla de plus en plus fort bien à fond J’étais
énorme prêt à lui prodiguer sa récompense. Elle savait lorsque
mon nectar montait.
Une
sorte de bouillonnement en mon totem se faisait sentir alors elle
collait sa langue à mon œil d’amour pour empêcher et retarder le
jet, une sorte de brûlure me parcourait la hampe avivant encore plus
mon orgasme et relâchant sa pression Chima recevait en sa bouche
gourmande le présent tant attendu.
Chima
ne gaspillait jamais elle goûtait le tout mais tenait toujours à
venir le partager en nos bouches. Nous nous collâmes très
fortement, ses yeux pétillaient de Bonheur. J’adore voir ma Chima
heureuse ainsi. Nous finîmes de nous doucher. Je la séchais
savamment ne perdant aucun coin de son intimité tout en l’embrassant
dans son cou. Nous échangeâmes une dernière étreinte, de derniers
baisers puis nous sortîmes sans trop de bruit. Je la suivais du
regard entrer dans sa roulotte et rassuré mais surtout heureux je
filais vers ma petite tente. Le sommeil serait facile car rien n’est
meilleur comme thérapie lorsqu’on a du mal à le trouver.
Yahto
tellement amoureux de cette femme.
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