019 - L’appel de la forêt…

 Un « smarties »,
c’est comme cela que j’appelle nos com entre nous. Ma belle Chima est en vacances dans un camping de bord de mer. Une pinède immense sépare le camping de la plage. La nuit cette pinède soupire de couples qui respirent le grand air. Sans doute des voyeurs discrets rodent aussi. Heureusement elle a emmené la chienne et cela lui fait un beau prétexte pour sortir. 
Une vibration dans ma poche hummmm rien que cette vibration fait relever une queue, non pas celle de la chienne, la mienne : 
-          Amour je sors Je te veux… 
Rien de plus tout est dit. Je suis dans le même camping et je n’ai plus qu’à l’attendre. La voilà enfin qui passe devant moi. Je fais semblant de ne pas savoir juste un sourire la tête vers ma tente, elle me devine l’épiant. J’attends quelques secondes, je sors heureux et vais la suivre discrètement. Je l’ai vu belle dans sa robe d’un imprimé bleuté avec boutonnage… Je m’imagine de suite… rien en dessous… hummm je suis déjà énorme rien que d’y penser. Qu’elle est désirable marchant à quelques pas de moi. Elle m’avait dit avoir trouvé un petit coin de paradis, un arbre légèrement couché je la suivais déjà frissonnant de désirs. Où allait-elle ? Combien de minutes encore à souffrir de Mon Amour pour elle ? C’était comme si je sentais son parfum là juste parmi les pins. Elle avait cette petite robe coquine avec un boutonnage devant sur toute la hauteur, ce genre de robe insupportable où, trop pressé, on balbutie chaque bouton à la limite de tout arracher.


Je pressais le pas. La chienne, jeune, gambadait sans trop faire attention. Chima m’avait dit qu’elle serait sage attachée et qu’elle obéissait au doigt à l’œil. Bien sûr je savais que nous aurions une relation dans l’urgence, sorte de qwickly de vacances n’éveillant pas de soupçons. Mais je ne suis pas de ceux qui laissent un Amour sur son quai de gare. Je suis de ceux qui veulent l’amener à son terminus, à son explosion, à son apaisement profond. J’avais déjà en ma tête fait le film de cette première rencontre. Presque plus haletant que la chienne je me rapprochais faisais craquer les branches pour que Chim frissonne déjà.
Je la savais tracassée de cette première fois anxieuse n’ayant jamais vécu ce désir de se donner. Allait-elle se donner d’ailleurs ? N’allait-elle pas se refuser au dernier moment ? Nos échanges étaient de plus en plus torrides sur le net et nous avions profité de cette idée de vacances pour penser nous rencontrer. Elle me disait être parcourue d’un sentiment de grande culpabilité par rapport à son couple établi. Mais je crois que l’appel de ses sens la torturait bien plus et qu’elle voulait enfin vivre pour elle.


La lune en plus ce soir-là jouait à cache-cache ce qui ajoutait au mystère de cette rencontre. Entre deux nuages la silhouette d’un arbre penché assez grand apparue. Chima y fila et trouva un arbre plus petit pour attacher la laisse de la chienne, pas trop prêt de nous quand même. Le vent brassait les branches troublant de temps à autre le calme apparent de cette forêt. J’avais semblé entendre déjà un miaulement qui n’avait rien d’animal mais bien plutôt celui d’une femme jouissive quelque part dans cette immensité. Cela augmentait les pulsions de mon envie pour Chima femme que je désire au plus profond de mon Cœur et que je veux rendre heureuse de toutes les façons permises.
Chima finissant d’attacher le chien sans doute lui murmurant d’être sage s’appuya pratiquement tête renversée sur le tronc. Qu'elle est belle offerte dans cette posture, presque insouciante. C’est alors que je sortis du bosquet, sur son côté droit, un sursaut intriguée voulant de suite être rassurée de ma présence, un immense sourire éclairait son minois comme sans doute son minou coulait de désir. Elle était encore plus radieuse que la lune éclairant la clairière. Un épais tapis de sphaigne étouffait mes pas. Elle se releva du tronc et se jeta dans mes bras nos lèvres se dévorèrent déjà enflammées. Je me collais à elle, sentais sous sa robe si fine qu’elle était bien nue et ses dunes dardaient déjà dures, les tétons érigés droits traversant l’étoffe, pointant sur mon torse, chemisette ouverte. J’étais de plus en plus énorme attentif attentionné, tressaillant de désirs. Je me laissais choir à ses pieds et Chim se remit sur le tronc tête renversée.


Je disparaissais totalement sous cette robe, vous savez comme le photographe dans le temps se cachant pour prendre la photo. Je humais cette odeur particulière, elle sentait bon sans doute qu’elle sortait de sa douche ayant fait une toilette intime d’une jeune première communiante. Allait-elle profondément communier, de son corps s’abandonner ? J’étais là à ses pieds et remontais tranquillement ma tête léchant ses jambes si fermes, au galbe irréprochable. Elle les écartait me voulant à l’intérieur remontant vers le fruit défendu. Je sentais imperceptiblement de doux tressaillements de son être. Je savais qu’elle me désirait, son corps commençait à écrire une page de son histoire sans doute qu’elle aurait pour titre « L’appel de la forêt ». J’arrivais au bord de son calice. Mes mains parcouraient à leur tour ses jambes redescendant puis remontant tandis que ma bouche allait enfin faire du bouche à bouche à la partie intime de ma Chim.


Ma douce commençait à onduler de son bassin. Je me disais que ce soir elle allait être demandeuse je le ressentais dans la manière de s’ouvrir, écartant un peu plus ses cuisses. Le brugnon était ruisselant. Ma langue avide en pris une lampée. Quel délice l’été. Chim se goinfrant de fruits allant cherchant ses vitamines pour l’hiver cela se transfusait dans son nectar d’amour qui avait un gout de sucre, cette confiture d’amour j’allais m’y enivrer, respirer ses fragrances, m’y noyer. J’en devenais fou au fur et à mesure que ma langue écartait ses concrétions, ses langues de calcites humides descendant des plafonds des grottes, Chim avait les mêmes en plus petit, en plus belles… en plus juteuses hummmmmmmmm Que j’étais énorme. Je me caressais d’une main dans l’attente de notre dessert final. Chim malaxait ma tête au rythme de ses soubresauts, parfois allant à me tirer les cheveux tellement cela devait être bon de me sentir butiner son nectar entre ses cuisses. Elle se faisait aller et venir sur mon nez. Je sentais le bourgeon se coller se décoller et nos appendices croisaient leur amour l’un donnant du plaisir à l’autre.


C’est alors que je décidais de lui provoquer une jouissance féroce de son clito. J’avançais mes dents sur le bouton gorgé de sang qui ressortait. Délicatement du bout des dents je venais stranguler la base du clito et serrais doucement doucement. J’avais mis mes mains sur ses hanches pour l’immobiliser absolument contrant tout mouvement brusque car je ne pouvais ni voulais lui faire de mal, juste lui provoquer une décharge électrique rarement ressentie. Je continuais de serrer délicatement Chim avait la respiration haletante se demandant où j’allais l’emmener. Je restais ainsi plus d’une minute tout en caressant ses hanches puis de mon index droit je vins jouer avec la tête de son clito passant ce doigt entre mes dents. Je tapotais et Chima se tordait de plus en plus de plaisir. Des miaulements de plus en plus forts s’échappaient de cet être en mal d’amour. Le sang ayant gonflé fortement le bourgeon je pinçais sa tête et une violente décharge accompagnée d’un cri traversa la clairière Chim venait d’avoir un orgasme électrique et je caressais savamment le bourgeon pour lui donner de fortes répliques. Chima ondulait de tout son être et m’agrippait les cheveux à la limite de la douleur mais que ne ferais-je pas pour apporter tous les plaisirs à ce merveilleux Amour. Un petit mélange de cyprine accompagnée d’une douce éjaculation de son liquide transparent envahi ma cavité buccale et je me délectais de ces flots paradisiaques. Chim avait eu un orgasme plein d’une rare violence. Elle me murmura assez fort haletante :
-          Prends-moi Amour… Prends-moi… Je n’en peux plus… Je te veux en moi…


Elle avait dégrafé toute sa robe sans que je m’en aperçoive. Elle était là, nue, provocante, rayonnante de beauté, sa robe largement ouverte de chaque côté. Un rayon de lune éclairait la scène, je voyais un songe d’une nuit d’été… Mon mât bayait aux corneilles dépassant de son boxer insolent d’attente. Je remontais le corps de Chima de ma langue léchant et léchant chaque parcelle de peau tandis que mes mains suivaient. Enfin, tremblante de désirs, Chim se pendit à mon coup ne me laissant en rien finir. Elle se souleva et s’empala violemment sur mon dard… Là je compris l’urgence de sa demande… elle était folle d’envie de me sentir en elle. Je voyais qu’elle ne me laissait aucune initiative. Elle plongeait dans son abîme tête baissée me parcourant d’avides baisers. Sa tête se ballotait de gauche à droite en cadence rapide. Cet orgasme de son clito avait déclenché sa soif de son autre orgasme ; celui qui est son plus profond celui qui va la faire hurler de Bonheur car elle ne peut se contrôler, tellement c’est fort et bon. À cette soif de se faire venir j’avais du mal à résister et voulais jouir mais je me contrôlais très bien ne voulant inonder Chim qui se serait peut-être bloquée mais que j’avais du mal à me retenir devant tant de fougue, tant d’ardeur à aller chercher ses plaisirs… Je me ralentissais mais Chim avec violence se donnait tellement avec force…


Et, heureusement Chim se mit à émettre ses petits cris que j’avais déjà entendus dans nos waves échangés sur le net. Ces ohhhhhhhh grandissaient dans la nuit. Ma petite puce était devenue lionne et elle allait enfin pouvoir rugir. Elle se redressa sur moi encore plus, s’accrochant à mon cou, elle se bloqua l’espace d’un instant je giclais criant je ne sais plus trop quoi tellement elle me donnait mon plaisir et là un énorme cri déchira la nuit Chim jouissait avec moi à l’unisson elle tremblait de tout son être. Je sentais les contractions applaudir sur ma hampe. Elle me « bisouillait » partout folle de joie de sentir cette force apaisante l’envahir. Cette femme est heureuse de jouir et de jouir. Je la gardais sur moi un long moment comme pour la remercier d’un tel moment. Nos langues se mélangèrent une dernière fois. Je sortais de ma poche un kleenex comme lorsque l’on veut le prêter pour essuyer une larme mais là c’était pour essuyer nos propres larmes de nos joies. Juste avant de bien l’essuyer je passais une dernière fois trois doigts dans ses coraux et je les portais à nos bouches pour communier encore et encore de cette folle union. Nous nous regardâmes, nous sourîmes… un dernier bisou, une caresse à la chienne si sage… nos corps se laissèrent, nos Cœurs se serrèrent, nous étions l’un en l’autre et le resterons en pensée rêvant d’une prochaine fois tout aussi forte empreinte de cette douce violence… Chim, tu ne peux savoir comme je t’aime.
Yahto


Commentaires