018 - Souvent nos sorties en char ressemblent à ceci…

Que je les aime les longs voyages en voiture avec toi sur nos interminables autoroutes à la vitesse de 100 km/h que personne ne respecte allant jusqu’à 118 km/h (ne dépassez pas cela sinon le ticket est assuré lol) Que j’aime te voir sortir de ton sac ton objet fétiche dont tu ne te sépares jamais, ce Nea Black 


que je t’avais offert. Tu es là à mes côtés affolant mes sens, ne sachant comment j’arrive à contrôler ma conduite devant ton infernal inconduite donnant à l'essence à mes sens.



Je te vois car je place toujours le miroir vers ton intimité, mes rétroviseurs me suffisent pour le reste. Je sais que tu vas te faire plaisir car tu as mis ton CD favori ce Cd annonciateur de tes plaisirs : Chris Réa ou Lana Del Rey lorsque tu veux me provoquer, là cette dernière annonciatrice d’une conclusion déjà écrite. Tu me regardes du coin de l’œil et me souris, vilaine coquine.

 Tu relèves ta jupe très haut me montrant ce que je ne connais que trop, des cuisses généreusement offertes et largement ouverte sur le puis des délices. Comme je le sais depuis toujours tu as oublié ta petite culotte assortie à ton soutien-gorge, enfin oublié non elle parade dans ton sac pour plus tard. Tu branches l’objet de tes plaisirs et son petit bruit va ronronner en attendant le ronronnement de tes gémissements. Je te caresse la cuisse gauche ta tête se pose sur mon épaule, tout est ok pour ta jouissance violente à venir. Je te laisse faire car je sais que cet orgasme te sera insuffisant et qu’il me faudra venir à ton secours pour ton orgasme final, celui qui seul t’apaise, celui de ton vagin.
 Je te connais tu aimes aussi te montrer de temps en temps aux truckers qui sillonnent nos autoroutes. Je le sais, ils savent nous coincer dans les portions désertes car roulant à trois ils tentent toujours leur coup. Un double un autre truck et reste à sa hauteur toi ayant suivi le troisième en profite pour lui aussi doubler et tu es coincé dans la nasse alors celui de droite haut perché va te mater durant une bonne dizaine de kilomètres, voici leur passion et toi tu te montres heureuses de savoir qu’il doit bien bander, lui est avec sa CB racontant aux autres…
Tu ne mets pas très longtemps à obtenir ta jouissance de ton petit bourgeon. Je le caresse en même temps t’arrachant de plus forts gémissements. Dans le miroir il brille de sa petite tète nacrée. Tu as mis des mouchoirs en papier pour protéger le siège car cette fontaine amoureuse ne sait que trop montrer son plaisir en ruisselant de son nectar que je m’empresse toujours de déguster en passant mon index entre tes draperies si finement ciselées. Tu te fais aller de plus en plus vite te tortillant, ta respiration devient haletante, tu gémis ta tête se fait plus lourde et pressante sur mon épaule, tes yeux se ferment tu es dans ton monde il peut arriver n’importe quoi tu vas bientôt exploser de ton bonheur.
Tu me déboutonnes, écartes les pans de mon pantalon et te saisis de mon sexe énorme et perlant, essuie ma perle et la porte à ta bouche. Tu me sers fort et dans un soupir sans fin tu vacilles tu jouissssssssss ton bouton est éclos, radieux, tes yeux chavirent tu as joui. Je prends le relais, malaxe ce tout petit doigt d’amour, glisse un doigt puis deux et trois entre tes replis, ton coquillage baigne dans son lait d’amour, je ne vais plus pouvoir lui résister mais comment faire sinon trouver un endroit tranquille. La prochaine sortie sera la bonne et nous trouverons un recoin désert. Je gare la voiture dans un boisé tranquille et tu t’empresses de prendre mes lèvres, nos langues se mêlent dans un balai sans fin.
 J’ai dégrafé ton corsage et libérer tes deux dunes que je caresse savamment en n’oubliant pas les aréoles pigmentées. Tu me mordilles les lèvres et je sais ce que cela veut dire. Tu recules le siège te retourne les fesses sur le dash afin que je me glisse sur ton siège tout en baissant définitivement mon pantalon tu es là face à moi à genou et tu t’empales sur mon doigt d’amour. Je presse tes fesses à pleine main te faisant aller et venir tout contre moi. Nos bouches se mordillent tu me caresses le dos tu es si heureuse. Ta tête part dans tous les sens comme si tu ne savais quelle position prendre. J’abaisse un peu plus le dossier afin que tu sois plus en avant sur moi. Tu te fais aller de plus en plus vite, je vois dans tes yeux le désir de ta jouissance. Je te murmure de doux mots d’encouragement à aller chercher cette jouissance au plus profond de ton être afin que tu cries tout l’amour que tu as pour moi. Je glisse une main sur un téton que je malaxe et porte en bouche pour le titiller tout en accompagnant tes délicieux coups pour que ton point de non-retour arrive. Je suis énorme en toi et je t’appartiens. Ta peau sent le sable chaud juste avant la tempête du désert, ton dessert ! Ta respiration haletante grandit, tu te colles de plus en plus fort à moi, tes gémissements et tes coups de reins sont de plus en plus violents. Que tu es belle dans la recherche de ta jouissance, rien est plus beau que de voir une femme, SA femme aller chercher cela au plus profond d’elle-même, tout en confiance tout en douceur tout en beauté.
 Tu t’offres de plus en plus quémande ta jouissance de petits oui plaintifs et enfin tu trembles de la tête aux pieds, tu te bloques et un long crie de Bonheur emplie l’habitacle du char tu cries mon prénom ta tête vacille tu jouissssssssssssss Tes seins durs s’écrasent sur ma poitrine et à mon tour je te réponds tu sens mon nectar chaud inonder ton coquillage t’arrachant de douces répliques qui te font te lover encore plus contre mon torse tu rayonnes de ta beauté de velours ta peau est chaude et humide de petites gouttelettes de sueur de ton Amour brille sous le soleil. Que tu es belle lorsque tu jouis Amour. Tu te retires me dis de repartir. Nous démarrons, regagnons l’autoroute. Tu ouvres à nouveau mon pantalon, sors ton emblème fétiche, poses ta tête sur ma cuisse et tu vas t’endormir comme un bébé sa sucette à la bouche. Je sais que dans un certain nombre de kilomètres tu te réveilleras et tu feras pleurer mon sucre d’orge pour te gorger à ton tour de ce délice que tu as appris à aimer et je serai aussi le plus heureux des hommes, TON homme !

Elle aime écouter ceci et je ne discute pas car moi aussi

 

Voilà c'est sur cela que se masturbe Chima lorsque je fais de longue route et bien sûr je l'aide allons....

 

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