008 - Yahto, à la demande de sa compagne, se fait faire l'empreinte de son sexe...

… Un jour, elle me pria d'aller voir une de ses meilleures amies, son aînée de deux ans, Émeline, dans son cabinet de prothésiste dentaire. Je connais bien les trois amies de Flore: Claire vit séparément avec une amie, Maéva est en couple avec mon super copain et Émeline dont je vais vous parler. Comme moi, elle en a très peu et comme je dis toujours: les vrai(e)s ami(e)s se comptent très souvent sur les doigts d'une seule main; vrai(e)s au sens de quelqu'un qui peut vous donner un rein par exemple. Je demandais pourquoi faire et elle me répondit avec un sourire coquin:

- Tu verras bien mais elle t'attendra après le souper!

Cela sentait l'embrouille coquine...Émeline était pas très loin du sosie de Natalia Wörner, une femme tout à fait attirante avec de beaux atouts. C'était un vendredi soir. Je me rendais à son cabinet sur le coup de 20h30. J'entrais. Émilie en effet m'attendait vêtue de sa blouse de technicienne et, à première vue, sans trop rien en dessous à voir les bosses jaillissantes à l'endroit de ses seins. Après les salutations, nous avons donc parlé plus précisément de ma visite:

- Flore m'a dit de venir ce soir !

- Oui!

- Il y a une raison?

- Oui, une très bonne raison!

- Et c'est quoi...?

- Tu vas bien voir mais pour le moment vas prendre une douche et nettoie ton étendard avec de la bétadine.

- Tu plaisantes.

- Non!

Émeline était une femme qui avait eu un immense chagrin d'amour. Son premier amour était décédé dans un accident de voiture. Elle avait mis quelques années à s'en remettre avec deux tentatives de suicide, quel gâchis cela aurait été. Flore avait toujours été près d'elle et était en grande partie responsable de sa reprise en main mais jamais plus elle n'avait pu s'attacher à un autre homme. Elle collectionnait même les aventures sans lendemain. Émeline était de celles  qui savent bien ce qu'elles font et il ne valait mieux pas discuter.

Je m'exécutais non sans curiosité. Je me douchais dans la cabine juste à côté de l'atelier où trônait tout son matériel ainsi qu'un siège de dentiste très moderne. Je finissais de me rincer lorsqu’ Émeline vint me rejoindre en me fixant le dessous de la ceinture.

- Nous n'allons pas aller par quatre chemins, branle moi cela que je puisse voir la dimension!

- Mais que veux-tu faire? Cela me gêne!

- Tu me connais! Je te demande de me faire confiance.

Je m'exécutais et Émeline toujours avec son autorité:

- Donne-moi cela!

Avec vigueur elle me prit la queue décalottant mon gland en le tenant fermement sous sa couronne. Cela ne prit pas trois secondes que j'étais déjà énorme.

- Hééé! Ne crois pas que je vais aller plus loin! Pour le moment j'ai du travail. En attendant installe toi sur le fauteuil et tu peux rester nu cela ne me déplait vraiment pas au contraire...

Le fauteuil était totalement à l’horizontal et je m'y allongeais.

Émeline réapparaissait près de moi avec tout un attirail dans les mains: deux plaques allongées dont la surface était perforée de multiples trous; cela formait une sorte de boîte avec un des côtés manquant et le tout ressemblait étrangement à des sortes de porte-empreintes dentaires, des boîtes où il était noté ''Alginate chromatique...empreintes rapides et précises...''

Il ne m'a fallu qu'une seconde pour tout comprendre:

- Non Émeline! Ne me dis pas que Flore t'a demandé de me faire une empreinte de son jouet préféré?

- Eh bien oui et je vais même faire plus! À partir de ton empreinte je vais réaliser trois godes de ton jouet comme tu dis: deux pour Flore et un pour moi! Je ne vais pas me priver de cela car je dois te dire qu'au premier coup d’œil je comprends pourquoi Flore me parle qu'elle est comblée. Tu le sais ou pas j'en vois des queues avec le choix de vie que je mène et toi tu es certainement dans la catégorie des mieux montés!

- Merci c'est aimable!

- Aimable ou pas il va falloir que tu bandes un max parce que Flore m'a dit qu'elle ne veut pas d'une demi-portion.

- Ok, ok!

- Bien! Je vais te dire lorsque je serai prête car il y a des temps à bien respecter.

- Ça fait mal?

- Ne fais pas ton douillet, tu as déjà eu des empreintes dentaires? Eh bien c'est la même chose sauf que le produit est différent. Là c'est pour les objets ou une partie du corps.

- Au lieu de discuter commence à t'astiquer; tu veux un porno sur l'écran de l'ordi en m'attendant?

- Non je vais me concentrer et si tu te mettais nue ta beauté me sera suffisante.

- P'tit coquin! C'est bien parce que c'est toi et que je connais bien Flore et vos accords...

Elle ôta sa blouse et, comme je l'avais bien deviné, elle était bien nue en dessous. Deux gros seins bien fermes et ambrés reprenaient leur liberté. Ils dardaient juste à portée de bouche. Devinant mes intentions:

- Hop! Pas si vite! Je t'ai dit il y a du travail.

Pendant qu'elle préparait la séance, je n'avais aucun effort à faire pour grossir. Je voyais sa croupe onduler. Lorsqu'elle se retournait dans ma direction, la vision de son bas ventre, m'offrait sans retenu  aucune une superbe vue sur sa chatte bien dessinée avec le même petit triangle de poils que Flore:

- Tu as la même esthéticienne que Flore?

- Non le même esthéticien! Mais n'imagine rien, c'est un de nos très bons amis et hélas nous ne l'intéressons pas le moins du monde... Il vit avec son ami qui est notre coiffeur. Drôle non? Alors tu es prêt!

- Oui je pense!

  En se tournant vers moi:

- Eh bien dis donc tu as à me faire encore un gros effort, je vais t'aider et tu resteras bien tranquille ensuite.

Elle s'approcha de moi, me pris fermement la hampe, mis mon gland dans sa bouche me serra très fort sous la couronne, me tira toute la peau en arrière. Elle me suçait savamment en me branlant délicieusement. Je sentais qu'Émeline y prenait un certain plaisir. Je me risquais à lui capturer un sein. Comme elle ne se refusait pas je continuais à lui en caresser la pointe qui s'étirait de plus en plus et, lentement, je descendais vers son puits d'Amour. Elle fit un début d'ondulation de ses reins:

- Attends un peu je ne te laisserai pas ainsi haletant devant moi mais il faut faire le travail.

J'étais énorme devant tant de tolérance, sous l'effet dévastateur de sa fellation. Avec dextérité, à la base de mon sexe, elle posa un large élastique et lui fit un ou deux tours:

- Cela va te tenir bien dur pour avoir le temps de pose adéquate et je pourrai le couper facilement le moment venu. Je sais tu dois avoir un peu mal mais il faut que cela soit précis. Surtout je te demanderai de te concentrer et de ne pas bouger lorsque tu auras les moules sur ta belle grosse queue. Tu  es bien monté!. J'en ai vu! Il y a peu d'homme qui ont une couronne comme toi, tu vois là le bourrelet que tu as! Les femmes aiment ce genre de gland. Tu as un gland qui hameçonne, qui stimule le vagin lorsque tu reviens en arrière. Il tire les parois, accrochant bien et ses mouvements répétés stimulent encore plus le point G des femmes. De plus comme tu es de grosseur tout à fait raisonnable, elle te sente bien plus que si tu n'avais pas cette protubérance aussi prononcée. Tu comprends pourquoi je n'hésiterai pas à me faire ton empreinte!

Et pour renforcer ce qui semblait vraiment l'exciter, elle me plaça un deuxième élastique juste sous la couronne ce qui la fit ressortir encore plus. Je lui ajoutais:

- Comme cela tu penseras à moi à chaque fois!!!

- Ne rêve pas j'en ai plusieurs et les noms ne sont pas écrits dessus. Ce sont des sortes de trophées!

Sans perdre un instant, Émeline fit le mélange qui devint violet. Devenu rose, elle emplit les deux moules et me les appliqua, les fixant bien solidairement. Il ne restait plus qu'à attendre les trois minutes de la minuterie. Je n'esquissais aucun geste, essayant le plus possible de réfréner les contractions de mon périnée que je sentais monter dans mon manche caparaçonner. Pour me garder bien dur Émeline me caressait les testicules. La minuterie retentit. Émeline contrôlait et comme tout semblait correcte elle coupait la strangulation au dessus de mon scrotum, me pinçait violemment les tétons plusieurs fois me faisant mal. Je débandais, mais pas suffisamment. Elle séparait chaque moule laissant une sorte de gélatine blanche accrochée à mon manche. Avec une seringue elle injectait de l'eau tiède entre ma peau et les empreintes pour faciliter leur décollement. Ainsi, elle pouvait retirer le moulage et le deuxième élastique. Elle semblait ravie de son travail:

- Bien! Il me restera à mouler et j’appellerai Flore pour lui remettre son trésor. Il se fait tard, je range le moulage dans mon armoire qui ferme à clé. Je te rejoins sous la douche.

En effet, elle vint avec moi, se lava et se plaqua contre moi. Elle était devenue une chatte aimante, s'abandonnant à mes caresses. J'étais redevenu dur et, en un tour de main, elle s'accrocha à mon hameçon d'un coup de rein précis tout en prenant appui à mon cou. Je la soutenais. Elle se tortillait frénétiquement cherchant la montée de son plaisir.  Je pétrissais violemment ses fesses et sentais la pression de ses seins sur ma peau tellement elle me serrait fortement. Nos langues n'en finissaient pas de se mêler. Nos cadences augmentaient. Elle laissait échapper de stridents petits cris. Mon index gauche glissa dans sa rosette lui occasionnant un miaulement de bonheur plus intense. J'explosais en elle. Dans un dernier spasme de tout son être, un interminable  «Oooooooooh!» résonnait. Émeline jouissait... De douces convulsions venaient contracter ma verge telle des vagues s'échouant sur une plage. Un dernier baiser langoureux et Émeline se retirait. Je lui rendais son baiser:

- Tu es divine!

Elle prenait la pomme de douche et se lavait le minou. Nous nous séchions et rhabillions. Je lui demandais si elle voulait venir prendre un pot au pub du coin, ce qu'elle acceptait. Nous avons discuté de choses et d'autres. Elle me dit que Flore est une vraie chic fille, que je suis chanceux de l'avoir et qu'il faut que je continue de la rendre heureuse...

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